2 Commentaires

  1. En fait, on est super doué pour vivre. On est surdoué. We are thriving on this planet! Not individually, but in numbers! Je suis convaincue qu’éventuellement on n’aura pas le choix que de vivre un effondrement de l’espèce humaine. Pas une extinction. Life finds a way. À moins d’un événement cosmique. Moi je ne vois pas l’intérêt de ne plus exister pour ne plus avoir de problèmes. Bien sûr, si le but c’est de n’avoir plus de souffrances humaines, okay il n’y en aura plus. Il n’y aura plus de joie non plus. La souffrance existera toujours, elle fait partie de la vie. L’humain n’est pas à part de la “Nature”, on en est partie intégrante. Est-ce que la vie sur Terre serait mieux sans les humains? Ça serait différent, c’est tout. Je ne dis pas ça pour justifier la souffrance qu’on inflige autour de nous. Je ne dit pas ça non plus pour promouvoir le statu quo face aux tragédies qui ont cours. Je pense seulement que tout ça c’est des préoccupations humaines qui nous touchent grandement en tant qu’humain. Mais on se donne trop d’importance. C’est sûr, quand on regarde les nouvelles ces temps-ci, on se dit qu’on ne mérite pas de continuer à exister comme espèce , à reproduire toutes ces souffrances à perpétuité. Malgré tout, je pense qu’il y a plus de bonté en nous que de cruauté. Et il y a beaucoup de beau partout, il n’est juste pas montré et mis de l’avant. Je suis consciente que je dis ça en tant que prévilegiée, peut-être que si j’étais née ailleurs sur la planète je dirais autre chose…

  2. Odile,

    voilà ce que je viens de lire ce matin:

    “La population mondiale décline et selon la Banque mondiale, 75 pays dans le monde ont déjà un taux de fertilité insuffisant pour maintenir leur population. ”

    Pas besoin de tes plans drastiques, l’humanité s’en charge volontairement.

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